mardi 1 décembre 2009
LE TEMPS DES REGIONALES en 2010
Cette social-démocratie a pu être un modèle pertinent et efficace en Europe (même s'il n'a jamais été adopté en France). A l'heure où ce modèle peine à se renouveler et à affronter les défis du siècle nouveau, est-il nécessaire d'essayer de la consruire à contretemps en France et dans nos régions?
Ne devons nous pas plutôt inventer une éco-démocratie basée sur un nouveau contrat social et de nouveaux indicateurs de développement humain, sur la reconversion écologique de l'économie, sur le soutien aux PME-PMI et non aux grands groupes, sur l'innovation technologique, les énergies renouvelables et une agriculture raisonnée ou biologique garante d'une alimentation de qualité?
Que se réalise un large rassemblement des démocrates et des citoyens qui font le choix de l'imagination, de la complémentarité et de la confiance mutuelle pour mettre l'écologie au coeur de l'action publique régionale pour ces prochaines élections.
mercredi 7 octobre 2009
CAP 21 / Citoyenneté Action Participation pour le XXIème siècle
Dans le domaine économique et social, CAP 21 place les notions d'éthique et de responsabilité au coeur d'un projet économique soutenable qui favorise les investissements dont le bénéfice et sociel est au moins égal au bénéfice économique escompté.
CAP 21 est convaincu que le moment est venu de rendre espoir à tous ceux qui souhaitent bâtir, ensemble, l'avenir de la France dans l'Europe et dans le Monde par un projet politique conjugant
- LIBERTE,
- RESPONSABILITE,
- SOLIDARITE et EGALITE,
- REFORMISME et INNOVATION.
venez nous rejoindre en visant le site de CAP 21 (voir lien direct sur mon blog)
dimanche 24 février 2008
Liste LA MADELEINE EN MOUVEMENT
Tous provenant d'horizons politiques et associatifs divers mais partageant l'idéal de servir la collectivité.
Marie Claude Hubert
Hakim ait el hadj
Mathilde Liévin
Stéphane Helbecque
MAGALI ROMBEAUX
Hugo Cresson
Antoinette Pawlaczyk
Remy Bisarre
Josiane RODRIGUES-Wraw
Alain Lagache
Peggy Vanholme
Guy Tetar
Julia Florent
Samuel Verspieren
Aurélie Desbuquoit
Frédéric Lefebvre
Dalila Bouali
Arnaud Durufle
Ghadi Rachida
Gregory Petitberghien
Marie Rose Desmet
Thibault Felix Faure
Andrée Brillouet
Regis Longin
Laetitia Flament
Bernard Singer
Nathalie Dupont
Sebastien Fagot
Dorothée Felix Faure
Olivier Leclercq
Chantal Desbuquoit
Franck Draheim
Janine DUBUS
Farid Lakel
vendredi 15 février 2008
Les engagements fondateurs du mouvement démocrate (MoDem) pour ces élections municipales
François BAYROU - janvier 2008
Sommaire
1 - Privilégier l’avenir : de la qualité de vie au développement durable.
2 - Construire un toit pour tous : du logement à l’habitat
3 – Donner à l’éducation et à la culture sa place première : du lien social à l’intégration.
4 - Relier nos villes et villages : du destin commun au développement collectif
5 - Faire vivre la démocratie locale : de l’habitant au citoyen actif
Certains s'étonnent de la diversité des alliances nouées par le MODEM dans l'ensemble des villes françaises. C'est, paradoxalement, la marque de l’indépendance des candidats du MODEM
Par sa capacité à gagner seul, ou à passer des accords locaux dans les collectivités en fonction des projets, des hommes et femmes, et des valeurs, hors tout schéma politicien préétabli, le MODEM donne son vrai sens à l'ouverture, à l'opposé des ralliements individuels pour un pouvoir éphémère ou des alliances d’habitudes entre frères ennemis qui ne partagent plus le même projet.
Contrat entre personnes responsables sur la base d’un objectif commun, l’alliance se différencie du ralliement basé sur une relation inégalitaire.
En créant des majorités de progrès partout où c'est possible, le MODEM jette les bases d'un fonctionnement nouveau et différent de la vie politique française. Il met en évidence le vrai sens de l’action politique : celui d’une vision pour la vie de la cité et d’un service rendu à la communauté.
En étant intransigeant sur les valeurs fondamentales et ouvert sur les personnes qui partagent ces valeurs, le MODEM ouvre une politique alternative, dans laquelle les habitants peuvent se reconnaître.
Au-delà de cette diversité apparente, les candidats du MODEM se retrouvent sur un socle de propositions communes qui rassemblent les citoyens. Si nous devions résumer ce socle en un mot, ce serait l’équilibre :
- équilibre entre un développement économique nécessaire et l'impératif écologique ;
- équilibre entre la maîtrise des comptes publics et le soutien à la création et à l'innovation ;
- équilibre entre un droit fondamental à la sécurité pour tous et la liberté tout aussi fondamentale des individus ;
- équilibre entre la nécessité de trouver un logement décent à tous et la préservation du cadre de vie pour chacun ;
- équilibre entre la responsabilité des élus et l'aspiration participative des citoyens ;
- équilibre enfin entre la protection accordée aux plus faibles et la nécessaire responsabilisation de chaque citoyen.
Penser globalement et agir localement, avec les citoyens, telle est l’ambition des candidats du MODEM.
Partout, ils ont bâti collectivement un programme correspondant à la situation de leur commune et répondant au mieux aux enjeux spécifiques locaux.
Au-delà de cette multitude de programmes, inhérente à la diversité de nos « clochers », les élus MODEM regardent tous dans la même direction et défendent le même projet de « vivre ensemble qui comporte quatre orientations et un engagement :
1. Privilégier l’avenir : de la qualité de vie au développement durable ;
2. Construire un toit pour tous : du logement à l’habitat ;
3. Donner à l’éducation et la culture sa place première : du lien social à l’intégration ;
4. Relier nos villes et villages : du destin commun au développement collectif ;
5. Faire vivre la démocratie locale : de l’habitant au citoyen actif.
Ce projet s’inscrit dans la lignée du combat de François BAYROU pour la démocratie.
1 - Privilégier l’avenir : de la qualité de vie au développement durable
Nous pensons que les élus municipaux ont une responsabilité singulière pour contribuer au changement de mentalité qui s’impose à nous en matière de développement durable et intégrer dans toutes les décisions l’impératif de protection de l’environnement et de préservation de l’avenir de nos enfants. Le mandat municipal est par excellence celui où les principes du développement durable peuvent trouver une traduction concrète pour la vie de la cité et du territoire.
Les maires sont souvent en première ligne, comme le précise la charte des maires pour l’environnement proposée par l’association des maires de France : « il leur faut assurer la salubrité publique, notamment la gestion de l’eau potable, des déchets et de l’assainissement des eaux, planifier et réglementer l’urbanisme, construire et gérer les bâtiments et logements publics, organiser les modes de déplacement de leurs habitants et mettre en service des transports en commun moins polluants, agir sur le cadre et la qualité de vie (sols, air, ressources en eau et milieux aquatiques, bruit, patrimoine rural, forestier, côtier et montagnard). Il leur revient enfin de promouvoir les économies d’énergie. »
Il convient tout d’abord de développer des politiques innovantes visant à passer d’une politique de gestion de l’eau et de traitement des déchets à une politique active de préservation de l’eau et de réduction des déchets. Au-delà, les élus du MODEM affirment une vision à long terme de la cité avec :
- un urbanisme au service des besoins présents et futurs :
o aménager la ville à long terme en estimant les besoins en logements et les possibilités de renouvellement urbain, en lien avec les logiques de déplacements professionnels, au travers des outils de planification territoriale (schéma de cohérence territoriale, plan local d’urbanisme, plan de déplacement urbain) et dans le cadre d’une intercommunalité pertinente ;
o économiser l’espace et les flux de déplacement en développant la ville sous la forme de quartiers bien définis, socialement mixtes, dotés d’un centre multifonctionnel accessible à pied, localiser les plus fortes densités à proximité des commerces, des lignes de transport en commun et des parcs, rénover les centres anciens (résorption de l’habitat insalubre) ;
o apporter aux citoyens, même en zone rurale, les services de proximité dans le cadre d’une intercommunalité de projet et valoriser les espaces attractifs ;
- une ville propre et saine :
o promouvoir une politique d‘économie d’énergie exemplaire pour tous les bâtiments publics et encourager les constructions et les réhabilitations immobilières visant à réduire la consommation d’énergie ;
o informer les citoyens sur la qualité de l’air, dont la détérioration devient une véritable question de santé publique, afin de les sensibiliser aux enjeux de la réduction des pollutions ;
- une véritable politique intégrée des transports :
o visant à réduire la consommation d’énergie en réduisant les trajets en véhicule individuel polluant : offre de transports en communs, lignes en site propre, véhicules propres, intermodalité des transports (train-tram-bus-vélo…) ;
o facilitant la mobilité des personnes âgées et à mobilité réduite ;
o donnant au piéton et au cycliste tout le confort et la sécurité possibles, par des aménagements de voirie intégrant eau et verdure pour en faire de véritables espaces publics.
A noter que ces mesures visent aussi à réduire les charges en matière de chauffage et de déplacement individuel qui pèsent lourdement sur le budget des ménages à revenus faible ou moyen.
2 - Construire un toit pour tous : du logement à l’habitat
Nous croyons que chaque ville ou village a une âme, un génie propre, un talent à rassembler des hommes et des femmes différents qui font de leur diversité une richesse. Nous pensons que la mixité sociale et intergénérationnelle est un atout et non un poids. Nous pensons enfin que les élus locaux ont une responsabilité dans la mise en place d’une offre de logement adaptée aux besoins.
Dans les grandes métropoles et notamment en région parisienne, nous devons nous mobiliser avec tous les partenaires publics pour mettre en place une véritable politique d’urgence de l’habitat pour tous.
Les élus MODEM sont des bâtisseurs responsables : ils veulent conduire une politique d’urgence de l’habitat pour tous : propriétaires, classes moyennes, milieux populaires, étudiants, exclus de la croissance et blessés de la vie, personnes à mobilité réduite.
Puisque la majorité de la population peut prétendre à accéder aux logements sociaux, les élus MODEM s’engagent aussi à appliquer la loi solidarité et renouvellement urbain, voire à en dépasser les objectifs. Mais ils veulent le faire intelligemment :
- en promouvant un habitat conçu dés le départ pour y vivre, quel que soit son âge, sa condition ou sa mobilité ;
- en déclarant la guerre aux logements insalubres ;
- en prenant toute mesure de nature à réduire le nombre de logements vacants (aide à la caution, taxation des logements vacants…) ;
- en privilégiant la répartition équilibrée des constructions sociales, voire la mixité sociale à l’adresse comme le permet la loi « engagement national pour le logement » ;
- en intégrant cette politique de logement dans un projet d’aménagement global au niveau de la commune et de l’intercommunalité ;
- en limitant l’étalement urbain et en favorisant tout dispositif permettant une utilisation modérée des ressources et énergies.
Cette politique de construction doit bien évidemment être reliée avec les autres enjeux en matière de réduction des flux de déplacement (point 1) et de cohésion sociale (point 3 ci-dessous).
3 – Donner à l’éducation et à la culture sa place première : du lien social à l’intégration
Nous ne nous satisfaisons pas de la situation actuelle en matière de banlieues ou d’insécurité. Si les politiques mises en place en matière d’insécurité doivent être fermes, elles doivent être accompagnées d’une véritable mobilisation générale contre l’échec scolaire, prémices de l’échec social. C’est au niveau local que des actions concrètes de prévention et de lutte contre la déscolarisation peuvent être menées, en lien avec les établissements scolaires, les travailleurs sociaux.
Des politiques culturelles favorisant l’inclusion et la participation de tous les citoyens sont garantes de la cohésion sociale, de la vitalité de la société civile et de la paix. Le pluralisme culturel constitue la réponse politique au fait de la diversité culturelle.
Toute politique de cohésion sociale suppose de mobiliser et d’assurer la cohérence de l’action de tous les services et réseaux associatifs agissant sur le même territoire. Les élus du MODEM mettront tout en œuvre pour travailler sur les thèmes de l’éducation et des loisirs avec tous les partenaires existants, quelle que soit leur couleur politique, dans une dynamique de projet.
Les élus MODEM s’impliqueront activement dans une véritable politique de l’éducation, de la culture et des loisirs pour tous.
Les actions mises en place doivent bien évidemment être adaptées aux enjeux, au territoire et aux moyens locaux.
Parmi la palette d’actions envisageables, figurent notamment les actions suivantes :
- lutter contre l’illettrisme et favoriser la maîtrise des savoirs fondamentaux par des actions d’aide aux devoirs ;
- soutenir la lecture par l’accueil d’auteurs en résidence et la mise en place de rencontres avec les écoles et dans les médiathèques/bibliothèques ;
- soutenir les activités associatives d’accès aux pratiques culturelles et sportives ;
- pratiquer des politiques tarifaires incitatives (pour les jeunes, les chômeurs, les handicapés) ;
- accompagner les formules imaginatives d’éducation ou les pédagogies expérimentales pour ramener dans le circuit éducatif les jeunes qui s’en excluent ; promouvoir les écoles de la deuxième chance ;
- privilégier les activités de loisirs formatrices, pour tous les publics ;
- encourager l’apprentissage des langues à l’école et par des partenariats avec des communes européennes ;
- favoriser les activités rassemblant les générations et les communautés pour que le pluralisme culturel soit un facteur d’épanouissement….
L’intercommunalité peut être un levier important, notamment en zone rurale, pour accroitre l’offre de loisirs ou mettre en place des activités périscolaires. Les élus du MODEM militeront pour que cette dimension importante de la coopération intercommunale ne soit pas oubliée.
4 - Relier nos villes et villages : du destin commun au développement collectif
Nous considérons qu’une ville ne peut vivre seulement à l’intérieur de ses murs, qu’un village ne peut se concevoir sans le bourg centre le plus proche, que les limites départementales et régionales doivent parfois être dépassées et que l’avenir de nos régions et de notre pays est dans la coopération européenne.
La vie économique sur laquelle s’appuie nos villes et village ne peut se concevoir en vase clos ou en concurrence. C’est pourquoi nos villes et villages ne peuvent faire l’impasse d’une nécessaire coopération intercommunale. Pour susciter l’envie d’entreprendre sur nos territoires, il faut offrir les services attendus par les entreprises, et l’accueil qu’ils sont en droit d’attendre : accès aux nouvelles technologies, offre adaptée en matière d’immobilier d’entreprise, réseau de transport, logement adapté….
Cette politique ne peut se faire que sur un espace de vie cohérent dont les contours varieront bien sûr en fonction de la densité et des caractéristiques géographiques et humaines. Elle suppose une solidarité financière au bénéfice de tous.
Par ailleurs, l’accueil des visiteurs, qu’il s’agisse des touristes et des résidents secondaires, doit être appréhendé comme une véritable activité génératrice de richesses. En ce sens, la préservation des espaces naturels ou du patrimoine architectural doit aussi être perçue comme une action de développement économique qui sera d’autant plus efficace que les communes auront mis en réseau leurs sites attractifs (circuits touristiques thématiques, facilités de transport, liaison entre capacités d’hébergement et sites à visiter, attractivité des entrées de village…).
Les élus MODEM travailleront activement à dynamiser l’économie du territoire dans un esprit de solidarité active et dans le cadre d’une intercommunalité de projet.
Au-delà de ces territoires de projet, les élus du MODEM entendent bien utiliser les potentialités d'expansion économiques et culturelles offertes par l'Europe et ses institutions.
Des actions connexes d'information et d'explication des citoyens sur les impacts des décisions européennes, notamment ne matière d’environnement, seront organisées au moyen de différents supports.
Les élus du MODEM restent attachés à une politique active de jumelage avec des communes européennes afin de favoriser les échanges entre citoyens européens : échanges scolaires et linguistiques, culturels et sportifs et mise en place de synergies entre entreprises locales européennes.
5 - Faire vivre la démocratie locale : de l’habitant au citoyen actif
Le mouvement démocrate a souhaité inscrire dans ses textes fondateurs une charte éthique et une charte des valeurs. Le but du MODEM est l’établissement d’une société de liberté, orientée vers l’épanouissement intellectuel et moral de la personne humaine dans la diversité de ses racines et le respect des valeurs de la République. Le principe d’une telle société est la démocratie, qui vise à porter au plus haut la conscience, la responsabilité et le sens du devoir des citoyens.
Les élus du MODEM sont indépendants de toutes les puissances d’influence, économique, politique ou médiatique. Ils sont économes des deniers publics et luttent contre toutes les formes de corruption.
Comme François BAYROU, les élus MODEM veulent « rendre le peuple acteur, remettre les citoyens au cœur du pouvoir. ». Les élus MODEM s’engagent à prendre le citoyen au sérieux en leur donnant la possibilité de se faire une idée des enjeux, des choix faits dans sa commune.
Les élus du MODEM s’engagent :
- à défendre la dignité de l’être humain et à lutter contre toutes les formes de discrimination ;
- à défendre l’équité d’accès à tous les services de la ville, y compris au logement social, en rejetant catégoriquement toute forme de clientélisme ;
- à donner leur temps pour le bon fonctionnement de leur commune, à s’impliquer dans la vie locale et à aller au devant de leurs concitoyens ;
- à rendre compte du travail mené aussi bien collectivement qu’individuellement, à présenter à leurs concitoyens toutes informations utiles, complètes et énoncées dans un langage compréhensible.
-
Concrètement, ces engagements peuvent se traduire notamment par :
- la diffusion sur Internet des débats des conseils municipaux ;
- des comités de quartier indépendants de la municipalité comme lieux d’échanges et de proposition ;
- une mise en réseau des compétences locales (chambres de commerce et d’industrie, chambre des métiers, bailleurs, éducation nationale et autres services de l’Etat, syndicats…) afin de renouveler l’analyse prospective de la commune ;
- une transparence absolue en matière de comptes publics et d’endettement local…
dimanche 10 février 2008
CLEF de VOUTE du MOUVEMENT DEMOCRATE
Elle se caractérise ainsi selon le Mouvement Démocrate:
- - une volonté d'ouverture ;
- - un dépassement du clivage gauche/droite ;
- - un mouvement novateur et participatif ;
- - une génération politique nouvelle ;
- - un mouvement précurseur « en matière de réflexion, de détection, de formation, de création d'idées »
Voici les engagements du Mouvement Démocrate
-une volonté d'ouverture :
"Rassemblement, Renouvellement, Refondation démocratique"
ainsi est l'appel de François Bayrou lors du Congrès ce 1er déc 2007
Nous souhaitons donc que se constituent dans chaque région des listes 3R qui porteront notre idéal de représentativité réelle du peuple des adhérents, notre idéal de démocratie interne, notre idéal de formation des militants, notre idéal de transparence !
Nous ne voulons surtout pas nous opposer à nos dirigeants, car sur le fond et le projet de société nous sommes d'accord, mais leur proposer un moyen pour que les attentes des militants de base soient relayées et satisfaites afin d’assurer un nouvel élan à notre mouvement !
-un dépassement du clivage gauche/droite :
"Nous dirons que c’est bien quand ça l’est, et nous dirons le contraire quand ça l’est", affirmait Fr.Bayrou en ajoutant par la suite à propos d'une décision politique de notre Président : "Que vous souteniez le Président de la République, c’est une chose. Que vous tombiez dans l’idéologie et le manque de recul ça en est une autre. "
-un mouvement novateur et participatif :
Les bonnes décisions pour favoriser le changement, l’évolution de la société, ne sont pas toujours celles qui sont évidentes, et elles ne se prennent pas en gérant au jour le jour, l’œil fixé sur les sondages d’opinion et baromètres de popularité. La démocratie, c’est un fonctionnement collectif, mais ce sont aussi des conduites, des comportements et des attitudes individuelles : devoir d’initiative et responsabilité.
- une génération politique nouvelle :
nos colistiers de la liste Mouvement Démocrate de La Madeleine 2008 viennent presque tous de la socièté civile et beaucoup sont primo-adhérents.
"Les adhérents du Mouvement Démocrate sont différents par leur histoire, mais réunis par leur avenir" affirme François BAYROU au Grand Jury -Le Figaro-LCI en juillet 2007
- un mouvement précurseur « en matière de réflexion, de détection, de formation, de création d'idées » :
« Tout est à construire. On ne le voit pas encore, comme on ne voit pas le soleil quand l’aube approche. Mais ce combat là, ce combat, est gagné ! » François BAYROU dans son livre Projet d'Espoir.
A la lecture du Projet d’espoir et des autres propositions et discours de François Bayrou, il est dit que l'axe du Mouvement Démocrate parle (plus que toute autre formation politique) à l’intelligence et à la raison des citoyens plutôt qu’à leurs émotions primales, à leur responsabilité consciente plutôt qu’à leurs désirs (fussent-ils « d’avenir »), à la reconnaissance du Bien commun plutôt qu’aux égoïsmes catégoriels ou communautaristes, et, enfin, à une réelle volonté de participation civique plutôt qu’à l’attitude passive des consommateurs de démagogie égalitaro-populiste ou libéral-populiste.